Histoire
La famille Blublanket à acheter ce magnifique petit chiot, un petit batard d'un pelage noir, ils s'en souciait, s'en occupait l'aimait comme on dit que les humains aime leurs meilleurs amis. Et finalement, le jour des 1 ans de ce chien, il était déjà trop grand. Trop grand pour ce genre de famille qui prèfére pouvoir frimer avec des petites choses qui vallent cher, mais voilà, ce n'est et ce n'était pas le cas D'helieron. La famille finit par prendre la décision d'abandonner le mâle le laissant dans un chenil ou il pu commencer à survivre. Il ne rencontra personne, ne parlait à personne, décida qu'il était seul face aux autres et que personne ne pouvait le comprendre. Les années passait et le chiens étais devenue bien plus fort moralement que de nombreux chiens pourtant plus vieux que ce dernier. De nombreux bipède passaient devant lui mais jamais aucuns ne s'arrêtais devant lui. Il savait que personne ne voudrait de lui à cause de sa taille, les parents on souvent peur que les gros chiens attaques les enfants, les autres ne pensent pas à le promener à cause de ses besoins plus fréquents et ne s'aventures pas dans ce genres de problèmes. Et puis il n'avais pas l'air physiquement sociable et gentil, ce qui étais tout l'inverse. Tout ce qu'il voulait c'est qu'il voulait que quelqu'un remplace la maudite famille qui la remplacé. Les mois passait il avait perdue tout espoirs d'être adopté par une famille bien aimante qui l'accepterais pour sa juste valeurs. Il étais au fond du chenil, il restait toujours à l'écart des autres, la plus part du temps il se roulait en boules, enfouissant sa tête entre ses pattes pour cacher ses yeux. Des yeux remplis de tristesse.
Le chiens écoutais souvent ceux qui " s'occupais" d'eux, il parlait d'une affaire d'états du remboursement de la Chine, ils ne le prenaient pas aux sérieux. Ce ne fut que le 3 Juin qu'il n'avais d'autre choix d'y croire. Le ciel bourdonnait d'avions de chasse, les bipèdes n'eurent pas le temps de réfléchir que des bombes étais tombées des plus gros appareils, les autres étais disposé juste pour abattes les survivants. Une explosions s'en suivit, le bruit étais horrible, les bruits stridents étais insupportable pour Helieron, Il cherchait une simple issue, l'air étais inespérable il devais fuir.. Il trouvais une brèche qui, on ne sait pas qu'elle moyens c'étais crée une brèche dans le chenil, ce dernier n'eu pas le choix d'y passer, la brèche étais juste assez grandes malgré qu'il en soit ressortis avec de nombreuse blessure, des poils arrachées , des griffures sur les flancs.. Ce dernier du faire ce qu'il n'avaient pas fait depuis pas longtemps " Cours, cours aussi vite que possible, ta vie en dépens "
En effet il entendais des coups de feu, les avions de chasses avais ouvert le feu, il devais trouvé un endroit ou se cacher, il allait à l'opposer des tirs. L'endroits semblait calme et reposé, toutes les poussières qui étais dans son poils pourtant court le démangeais d'autant plus qu'elle s'était mêlé à c'est blessures, il avait peur de s'infecté. Mais il devais continuer de fuir, depuis qu'il que les bombes étaient lâchées un horribles bourdonnement lui trottais dans la tête, il devais s'enfuir de cette endroits infestées le plus vite possible. Il marchait depuis plusieurs jours, lorsqu'il voyais des lapins il essayait de les tués d'un coup de pattes, mais souvent il les manquait, il devait se nourrir de petits mulots et lorsqu'il voyait un rivière il se précipitais dessus lapant l'eau pendant 5 bonnes minutes. Il se dirigeais vers les cotes est, sans le savoir il allait sur un autre endroits de bombardement, Il marchait depuis des jours, son corps avec diminué en volume, on pouvais voir ses cotes plus qu'avant. Il étais faible mais continuais de se battre, il ne voulais pas abandonné maintenant. Le paysage changeais de grands immeubles se faisait voir à travers les arbres, il se mit à courir ses pattes le faisait souffrir, il tombait souvent, mais il s'en fichais. Il avais trouvé un endroits qui avais survécu au bombardements avec un peu de chance, il trouvera de la nourriture et pourras se reposé.. Ce ,'est que lorsqu'il étais au pied des immeuble qu'il fit attentions à son environnement. De grandes lierres montais le longs des immeubles, du moins ce qu'il en restais. Il y'avais également une sorte de lac, qui n'étais pas très attirant pour sa couleurs vert opaque. Il ne voyais personne, pour la première fois depuis son abandon il voulait avoir de la compagnie canine, il ne voulais pas être seul dans un endroits qui devais déceler de nombreux dangers.